Luminaires de l'Église, Orthodoxie, Synaxaire

La vie de Syméon le Nouveau Théologien – XII

11 décembre 2020

 

Réhabilitation ; construction du monastère de Sainte-Marine

101   Mais remettons à plus tard de parler de la construction du monastère, pour nous attacher encore au récit des souffrances du père et raconter tout fidèlement. Sa renommée, comme une lueur d’éclair, resplendissait au loin aux yeux de tous ceux qu’elle atteignait, et poussait beaucoup de gens à venir le voir. Les uns avaient une hypothèse, les autres une autre au sujet de son exil, si bien qu’il comprit qu’il devait pourvoir au bien des âmes scandalisées : il avait l’esprit tellement apostolique. Il racontait donc à ses visiteurs les méfaits de ses accusateurs à son égard, et les uns eu versaient des larmes de compassion à la vue de sa vieillesse et de son dénuement ; les autres, ceux qui avaient la science de Dieu et la liberté du langage, le félicitaient et disaient : Bienheureux es-tu, père, d’avoir subi la persécution et les injures pour la justice 1, selon ce cri de l’Apôtre ; « Si vous êtes outragés pour le nom du Christ, heureux êtes-vous, parce que l’Esprit de gloire et de puissance repose sur vous. Que nul d’entre vous ne souffre comme meurtrier, comme voleur ou malfaiteur : mais s’il souffre comme chrétien, qu’il n’ait pas honte : plutôt qu’il glorifie Dieu pour ce nom même. Car voici le temps où le jugement va commencer par la maison de Dieu » 2. Avec ces paroles, ils s’en retournaient pleinement assurés de sa perfection de vie et de langage.

102   Cependant, pour ne pas se borner à ses seuls visiteurs, mais faire parvenir au loin et aux générations futures la démonstration de son entière innocence, et mettre à nu aux yeux de tous la vraie cause de son bannissement, il corn posa un livret sur lui-même et une lettre à l’adresse du patriarche Sergios, en des termes d’une simplicité candide ; il y proclame nettement et sa foi et sa confiance. La rédaction achevée, il l’envoie au patrice Génésios et aux autres magistrats dont il était le directeur spirituel, pour qu’ils l’apportent au patriarche et aux pontifes de l’Eglise. Les plus en vue de ces personnages se rendent donc d’abord chez le patriarche et engagent la conversation sur l’exil du saint ; ils lui remplissent l’âme de crainte en démontrant l’iniquité de la sentence ; puis ils lui remettent le livret et la lettre. La vue de ces hommes illustres venus en foule inspira au patriarche une crainte révérencieuse, à la pensée de leur haute situation. II eut peur que l’affaire n’allât jusqu’au basileus, et n aboutît à une solennelle condamnation pour lui. Aussi ordonna-t-il que ces écrits fussent lus au synode. Pendant cette lecture, les métropolites écoutèrent attentivement ; beaucoup d’entre eux gémissaient de la conduite du syncelle, auteur de tout ce drame ; beaucoup aussi ne tarissaient pas d’éloges pour les sentiments du saint et la pureté de sa vie.

103   La lecture des écrits terminée, le patriarche dit aux puissants disciples du saint : Pour moi, illustrissimes, jamais je n’ai eu la moindre supposition défavorable contre Dom Syméon ; j’ai même lu dès l’origine ses écrits en l’honneur de son père, et j’en ai été satisfait parce que je connaissais la vie du héros. J’ai donc donné ordre de chanter ces hymnes dans les églises, et j’ai loué sans mesure sa foi. Maïs je ne sais pourquoi il s’est élevé entre Syméon et le syncelle je ne sais quel différend. Celui-ci a lancé contre lui et son père une infinité d’accusations, qui sont de pures calomnies. Ce qu’il a souffert de notre part, ce n’est pas pour avoir failli dans les dogmes de l’Eglise, fondements de la foi orthodoxe et sans tache, qu’il l’a souffert ; mais comme, d’une part, il se cramponnait inébranlablement à son idée personnelle et ne cessait d’honorer son père en des fêtes éclatantes, et que, d’autre part, ses accusateurs s’agitaient et venaient tous les jours nous harceler, pour ce motif je l’ai éloigné de son monastère et de la ville. Maintenant, s’il veut, et s’il m’en croit, il reprendra possession de son monastère, et, avec l’assentiment unanime du saint synode, je le sacrerai archevêque d’une des plus importantes métropoles. Ainsi les torts recevront la compensation convenable et notre confiance en lui demeurera toujours vivante.

104   Il dit, et envoie ramener le saint de son exil. Quand la nouvelle de sa rentrée se fut répandue partout, tout le monde accourut comme à une grande fête, laïcs et moines, prêtres et lévites, et tout ce qu’il y avait de sénateurs distingués qui connaissaient le bienheureux pour sa vertu et dont il était le directeur spirituel. Tous raccompagnent chez le patriarche* Quand on annonce l’arrivée du père, le patriarche va au-devant de lui dans le petit sécréton, et c’est là que le saint le rencontre avec son escorte de grands personnages. Le prélat lui dit :

Quelle pensée tu as eue, Révérendissime Dom Syméon, de te jeter dans ces tracas, et de nous tracasser nous aussi, d’attrister tes amis et disciples que voici, de souffrir ce qu’il eût peut-être fallu infliger à un coupable, mais non pas, certes, à un homme savant et vertueux comme toi — Pour moi, j’en atteste le rigoureux jugement de Dieu, j’avais sur toi une opinion très haute et excellente ; je méditais même à part moi bien autre chose en ta faveur, et je le réaliserai, si tu veux m’en croire et si tu te relâches un peu de ta grande résistance. Mais pour le moment consens au moins à ceci : retourne à ton couvent où tu t’es imposé tant de fatigues ; pour ce qui est de fêter l’anniversaire de ton père, ce n’est pas nous qui t’en empêcherons. Nous t’engageons seulement à modérer un peu l’éclat et la durée de ces solennités de plusieurs jours, à n’y admettre que tes moines et les amis venus d’ailleurs, jusqu’à ce que tes envieux s’apaisent ou quittent ce monde, alors tu feras comme bon te semblera, à toi et à Dieu.

105   Le saint reprit :

 Quant au tracas et au scandale dont tu as parlé, mon Seigneur, ce n’est pas moi qui en suis responsable, mais l’intelligent syncelle, qui me hait sans sujet 3 sauf certaines questions superflues et vaincs où il aime à s’amuser, comptant par là embarrasser et mettre à l’épreuve la science et l’intelligence des autres, pour que personne ne paraisse en avoir plus que lui, mais que tous se trouvent inférieurs à sa sagesse et à sa science. Aussi portera-t-il la responsabilité de ces troubles, et à bon droit, comme dit l’Apôtre : ‹ Celui qui met le trouble parmi vous, en portera la peine, quel qu’il soit. › 4 Quant à ce que j’ai souffert et enduré, ce que peut être j’endurerai encore, j’en rends grâces à Dieu et à toi, mon Seigneur, de ce que ce n’est pas comme adultère ou malfaiteur, mais comme serviteur du Christ, fidèle aux canons et constitutions apostoliques, que je l’ai souffert, et le souffrirai encore, peut-être. C’est l’enseignement de Pierre, le chef des apôtres : ‹ Que personne d’entre vous ne souffre comme meurtrier, comme voleur ou comme malfaiteur, mais si c’est comme chrétien, qu’il n’en ait pas honte. › 5 Aussi bien, non seulement je n’ai pas honte de ce que j’ai enduré, pour le commandement de Dieu qui ordonne de ne pas mépriser nos pères, mais je me réjouis et m’estime bienheureux, de ce que moi, chétif, j’ai eu aussi l’honneur d’avoir des comptes à rendre pour l’observation d’un commandement de Dieu, d’être condamné par la justice et de subir l’exil, à l’exemple de nos anciens pères 6.

106   Pour tes anciennes dispositions envers moi, j’en suis témoin moi-même, et, avec moi, la vérité qui règne parmi nous : tu nous as honoré au-delà de nos mérites bien souvent ; tu as toujours respecté notre conduite, tu n’as pas eu assez d’éloges pour notre foi envers notre père ; tu la déclarais divine et admirais notre initiative sur ce point. Oui, je reconnais, mon Seigneur, tes sentiments à notre égard. Mais la haine de Satan — je ne sais comment m’exprimer — a fait ce qu’il ne fallait pas permettre : elle a changé ton cœur., transformé la douceur en amertume et présenté la lumière comme ténèbres 7non seulement à nous, mais à travers le monde à tous ceux qui ont eu connaissance de ces complots ourdis contre nous. Quant à ces autres projets que tu méditais pour nous, que tu as encore dans l’esprit et promets de réaliser, si nous nous rendons à tes propositions, s’il s’agit de biens éphémères, de gloire humaine et d’honneurs terrestres, je n’en fais aucun cas. Moi, ton serviteur, je me suis fait depuis longtemps cette philosophie : de considérer la mésestime des hommes comme un gage de gloire céleste, et de subir la gloire humaine comme un affront et une injure. S’il s’agit au contraire de choses agréables à Dieu et profitables à l’âme, tu nous verras toujours de grand cœur soumis à tes ordres. Et qui donc ne t’approuverait pas, quand tu enseignes à observer cc que le Christ et ses disciples ont prêché et ordonné ? Cela est conforme à la parole du Fils de Dieu : ‹ Apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai ordonné › 8. Consens donc à nous enseigner conformément à la divine Ecriture, sur le modèle des saints pères d’autrefois, et nous te recevrons comme un émule des apôtres, et nous nous tiendrons sous tes pieds saints comme la poussière de la terre : être foulé par toi, comme je l’ai déjà écrit, nous paraîtra une consécration. Bien plus, nous observerons tes ordres jusqu’à la mort, et toi, tu nous aimeras sans mesure comme les serviteurs et disciples du Christ, et sans mesure aussi tu loueras le bon aloi de nos paroles.

107   Mais si tu ne veux pas nous enseigner de manière que nous puissions, comme j’ai dit, obéir à tes injonctions ; si tu viens avec je ne sais quelles promesses de gloire humaine et terrestre nous proposer d’être ton collègue et celui de tous les pontifes de l’Église, à condition de mépriser notre père, le saint qui nous a donné la lumière et qui maintenant se fait notre intercesseur et protecteur dans les péripéties de la vie, comme un père très aimant, ce qui équivaut à vouloir nous faire offenser le Christ qui a dit : ‹ Celui qui vous méprise, me méprise › 9, dans ce cas, notre réponse est toute faite : elle n’est autre que celle des disciples du Christ : ‹ Il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes › 10. Car si je tenais par là à plaire aux hommes, je ne serais pas le serviteur du Christ 11. Moi, sache-le bien, dorénavant je ne mets au-dessus de l’exil que j’ai subi pour la justice de Dieu ni monastère, ni richesse, ni gloire, ni rien de ce que poursuivent les hommes en cette vie. Non, rien de tout cela, et pas même la mort ni la vie, ne me séparera de l’amour de mon Christ 12 et de mon père spirituel. Depuis que j’ai confié tout le soin de l’higouménat à mon disciple Arsène, que j’ai mis à ma place à la tête de ses frères, je me tenais complètement en dehors des affaires et des soucis ; tout en restant là, j’étais au milieu d’eux comme si je n’y étais pas, sans sortir jamais de ma retraite. Et puisque pour la justice et pour l’observation du commandement du Dieu vivant, j’ai été expulsé de là, je n’y retournerai pas une autre fois, tant que je serai en vie, mais je mourrai avec 13 la loi de mon Christ, sans l’avoir méprisé 14, bien assuré que je serai pas frustré de ses divines béatitudes. Il a dit en effet : ‹ Bienheureux êtes-vous quand ils vous insulteront et vous persécuteront et diront faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi › 15.

108   Quand le patriarche eut entendu ces paroles contraires à tous ses espoirs :

A coup sûr, dit-il, tu es un vrai studite, plein d’amour pour ton père, Dom Syméon : tu as bien aussi leur obstination, et peut-être est-elle digne d’éloge et selon l’ordre.

Après quoi en peu de mots il prononça son jugement :

 Je disais que je te ferais abandonner un peu de ton obstination en cette affaire ; mais tues resté le même et n’as pas changé le moins du monde ; tu te cramponnes au contraire au culte et à la confiance envers ton père spirituel, Cela me paraît, et à tous les autres, louable et légitime. Tu t’es montré absolument rebelle à toutes mes paroles. Désormais donc, va où tu voudras : habite avec tes disciples et fais selon ton bon plaisir. Ce n’est pas nous qui t’en empêcherons, que ce soit en dehors ou au-dedans de la ville que tu fasses ces fêtes et te livres à la joie avec tes amis.

Cela dit, il les congédia en paix.

109   Le bienheureux Syméon, martyr volontaire même sans persécution, et par le martyre de la conscience et par la patience à supporter les épreuves tombées sur lui pour la cause du commandement de Dieu, sortit donc du palais patriarcal en compagnie de ses chers enfants, les puissants personnages dont nous avons parlé. Avec eux tous, il est reçu dans la maison de l’admirable Christophore, surnommé Phagoura. Il y resta un bon nombre de jours. D’abord, il prodigua à son hôte et à ses deux frères le profit spirituel, ensuite beaucoup d’autres eurent une large part à sa direction, donnée en paroles toutes de miel : prêtres, lévites, magistrats, simples particuliers, hommes et femmes, enfants et vieillards, tous ceux en un mot qui le connaissaient et l’aimaient. Après quoi, il tait la traversée pour retourner à sa chère solitude, où il désirait s’aménager une cellule d’hésychaste. Celui qui donne un nid aux petits des aigles et aux hommes du pain en nourriture, Dieu, fait alors tomber les ressources comme une pluie sur le bienheureux ; il lui ouvre les trésors des grands : tous lui donnent à l’envi, parents, amis, enfants. Ce hit une jolie quantité d’or. Le saint la reçut, et, fort de sa confiance en Dieu à qui il avait recommandé l’affaire, il se met à l’œuvre et commence la construction du monastère.

110   Mais qui serait capable de raconter les épreuves qui lui survinrent encore de ce chef, de la part des démons et des voisins ? Ceux-là invisiblement et à toute heure, ceux-ci visiblement grinçaient des dents contre lui 16, lui lançaient des pierres, l’abreuvaient d’injures, cherchaient à l’effrayer par des menaces terrifiantes. Que ne firent-ils pas pour l’empêcher d’avancer dans la construction du monastère ? Mais Syméon avait revêtu le rocher 17 ; les pieds de son esprit appuyés sur le roc 18, il opposait aux furieux ouragans des épreuves une fermeté inébranlable. Les voisins, poussés par la haine, le menaçaient ouvertement pour l’arrêter, et tentaient de le faire partir à coups de pierres, tandis que ses vieux ennemis les démons secouaient invisiblement l’édifice et lui créaient des ennuis. Mais que faut-il tant de paroles ? Un océan de maux aux remous sauvages lui suscitait chaque jour une tempête de tribulations de la part des démons et des hommes à la fois. Malgré tout, à force de peines, il achève tel qu’on le voit maintenant, son petit bercail, et y plante un jardin et un vignoble pour la consolation des moines, ses futurs habitants. Ainsi Syméon s’occupait à rassembler un nouveau troupeau et fêtait la fête du père plus splendidement que devant. Dans le temple de la Mère de Dieu, du couvent d’Eugénios où il avait acheté un métochion [*], se réunissait, docile à la voix de cet assembleur de peuple, presque tout le clergé de la grande église de Dieu, avec beaucoup de moines et de laïcs. Fendant huit jours entiers, la fête se prolongeait, sans qu’il se trouvât un gêneur ou un accusateur, comme autrefois.

111   Enfin, il se reposa de tous ses travaux et se remit à sa chère, quiétude. Aussi bien ne l’avait-il jamais quittée au milieu même du trouble des affaires. Mais alors il s’abandonna complètement aux contemplations et aux illuminations dont il était coutumier. Traversant la matière et la pesanteur du corps, il s’en échappa ; et lui, qui ne s’était jamais séparé de Dieu, s’unit à lui plus pleinement par la raison et l’esprit ; sa langue devient une langue de feu, et il se met à écrire en théologien les « Amours des hymnes divins ». Malgré lui, poussé par le souffle violent de l’esprit, il publie ce qu’il a vu par révélation divine, ce qu’il a contemplé dans ses visions, quand il était monté plus haut que la nature. Sous l’action du feu divin, il devenait de jour en jour tout feu, tout lumière, Dieu par grâce et pareil au Fils de Dieu. Dès lors la personne de Dieu le Père lui fut révélée ; il conversait avec Dieu comme Moïse, et, guidé par le doigt de Dieu 19, avec son encre il gravait comme sur des tables les effets merveilleux du feu divin. Dès lors aussi il compose ses discours apologétiques et antirrhétiques si puissants, et, puissamment par eux, il s’op^ pose par la puissance de la Sagesse à ses contradicteurs.

112   Mais, en voyant cela, le démon qui l’avait réclamé comme Job, ne chômait point. Il excite contre lui la rage des voisins du monastère : tantôt ils F abreuvaient d’outrages et d’insultes et d’amers sarcasmes ; parfois même ils portaient la main sur lui, sans égard pour son âge déjà infirme, et d’une main homicide — ô mon Christ, que ta patience est grande et ta longanimité ineffable ! — ils le jetaient à terre ; ils allaient même jusqu’à lapider ce juste. Un jour un de ces gens prit une pierre, la plus lourde que sa main pût porter, et la lança fortement sur l’endroit où le saint avait coutume de s’asseoir et d’écrire les paroles de la grâce divine ; la pierre brisa la vitre, passa à travers vint droit contre le front du saint, et tomba juste devant ses yeux. La seule violence du coup donna le vertige à cette tête vénérable ; si elle l’avait atteinte, elle l’eût brisée sur l’heure, et rien n’aurait pu empêcher la mort du saint. Que fit à la suite de ces injures l’imitateur de celui qui a dit : « Tu ne rendras pas le mal pour le mal » ? 20 Par de bons traitements, il répondait à l’insulteur et à tous ceux qui le maltraitaient ; d’une voix calme, il appela son disciple Syméon et lui dit : « Tu vois, mon frère, ce dont on nous menace? » Et il lui montrait la pierre. « Mais va éteindre avec l’huile de la bienfaisance la colère de cette homme, et de notre indigence fournis-lui en abondance de quoi le guérir ».

Un grand mystique byzantin. Vie de Syméon le Nouveau Théologien (949-1022) par Nicétas Stéthatos.
Texte grec inédit publié avec introduction et notes critiques par le p. Irénée Hausherr S.J. et traduction française en collaboration avec le p. Gabriel Horn S. J., p. 141-157
Orientalia Christiana, Vol. XIII, Num. 45, Iulio et Augusto 1928 – Pont. Institutum Orientalium Studiorum, Roma

 

 

  1. Mt V.11
  2. I Petr. V.14-17
  3. Ps. 68 (69), 4
  4. Gal. V.10
  5. I Petr. V.14-17
  6. Syméon fait allusion surtout à Saint Théodore Studite exilé pour avoir pris la défense du « commandement de Dieu » contre l’empereur adultère
  7. Isaïe V.20
  8. Mt. XXVIII.20
  9. Luc X.26
  10. Actes V.29
  11. Gal I.10
  12. Rom VIII.30
  13. II Tim II.11
  14. Luc X.16
  15. Mt. V.11
  16. Actes VII.54
  17. Gal. III.27 ; I Cor. X.4
  18. Ps. XXXIX (XL).20
  19. Exode XXXI.18
  20. Rom XII.17

Sur le même thème

Pas de commentaire

Laisser un message

Rapport de faute d’orthographe

Le texte suivant sera envoyé à nos rédacteurs :