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Métropolite Antoine Khrapovitsky – La foi chrétienne et la guerre I / III

14 mars 2022

J’ai reçu de diverses personnes des demandes écrites sur la manière dont on peut justifier la guerre d’un point de vue chrétien. Il est tout à fait impossible de répondre à la question posée sous une forme aussi générale : il faut la décomposer en questions plus particulières et plus précises.
 

 

Cela est nécessaire parce que les guerres sont conduites par des gouvernements, mais les enseignements du Christ et des Saints Apôtres n’établissent aucune sorte de règles pour la vie gouvernementale et nulle part dans le Nouveau Testament il n’est envisagé qu’un État chrétien puisse exister à un moment quelconque ; il nous est commandé seulement de remplir les exigences passives que les gouvernements réclament de leurs sujets : obéir aux autorités 1, en particulier au roi et aux autres autorités établies par lui 2, en outre, de prier pour le roi et les autorités 3, de payer les impôts établis par décret royal, etc. 4. On peut avec certitude ajouter à cela que le Seigneur, son Précurseur et les Apôtres ne considèrent pas les gouvernements, même païens, comme un phénomène négatif, mais comme un état raisonnable des affaires humaines. Ainsi, saint Jean-Baptiste n’a pas condamné le commerce, les collecteurs d’impôts ou les soldats, mais leur a seulement demandé de ne pas tolérer les abus 5 ; dans ses paraboles, notre Sauveur parle fréquemment des rois et de leurs décrets comme de phénomènes tout à fait normaux et raisonnables, et les rois sont souvent présentés comme miséricordieux et justes. Le bon larron a prononcé des paroles que l’évangéliste cite avec sympathie : « Encore, pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos œuvres ; mais Celui-ci n’a fait aucun mal. » 6. L’attitude favorable du chrétien à l’égard du pouvoir laïque est énoncée de manière encore plus définitive par l’apôtre Paul dans son épître aux Romains :

« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures : car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui existent ont été instituées par Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre établi par Dieu ; et ceux qui résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes. Car les princes ne sont pas à craindre pour les bonnes actions, mais pour les mauvaises. Veux-tu ne pas craindre les autorités ? fais le bien, et tu recevras d’elles des éloges. Car le prince est le ministre de Dieu, pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n’est pas en vain qu’il porte l’épée. En effet, il est le ministre de Dieu pour Le venger, en montrant Sa colère à celui qui fait le mal. Il est donc nécessaire de vous soumettre, non seulement par crainte de la colère, mais aussi par conscience. C’est aussi pour cela que vous payez les impôts ; car les princes sont les ministres de Dieu, Le servant en cela même. Rendez donc à tous ce qui leur est dû : le tribut à qui vous devez le tribut, l’impôt à qui vous devez l’impôt, la crainte à qui vous devez la crainte, l’honneur à qui vous devez l’honneur.» 7.

Bien sûr, pour ceux qui, comme les disciples de Tolstoï, dédaignent totalement l’autorité des Épîtres et surtout de l’Apôtre Paul, ces mots n’ont aucun sens, mais de toute façon les Tolstoïens n’ont pas raison quand ils imposent à la citation donnée le sens que les rois agissent toujours avec justice : il n’y a pas ici un tel sens ; on indique seulement le caractère essentiellement juste des décrets gouvernementaux, auxquels même le juge injuste de la parabole du Christ est involontairement soumis ; mais cela ne nie nullement la possibilité d’exceptions particulières et distinctes, comme dans les paroles du Sauveur lorsqu’il dit que même un mauvais père ne donnera pas à son fils une pierre quand il lui demande du pain.
 

Tel est l’enseignement de l’Écriture Sainte : elle ordonne de respecter et d’accomplir les exigences des autorités gouvernementales laïques ; elle ne condamne pas le métier de soldat, de juge ou de collecteur d’impôts, mais nulle part elle n’indique les usages souhaitables dans un État chrétien, ni que de tels États existeront à un moment donné. L’Église s’exprime de façon plus définitive à ce sujet dans le droit canonique qui, pour le chrétien consciencieux, doit avoir le même sens que les paroles du Christ, puisque la collection même de ces dernières, c’est-à-dire le canon des Saints Évangiles, n’est qu’une partie de ce qui a été dit. Les protestants qui nient les canons des conciles œcuméniques n’ont décidément aucune raison 1) de reconnaître avec nous quatre Évangiles, vingt et une Épîtres et le Livre de l’Apocalypse comme authentiques et les huit autres Évangiles comme fausses, et 2) de reconnaître comme divinement inspiré notre canon du Nouveau Testament, mais de considérer les Épîtres des disciples du Christ et de St. Paul, par exemple celles de Barnabé et de Clément, ainsi que l’Épître de saint Paul aux Laodicéens, qui n’en font pas partie, comme des œuvres humaines et non les paroles du Saint-Esprit, même si elles sont authentiques.

Ainsi, si la foi dans les Saintes Écritures est fondée sur la foi dans l’infaillibilité des conciles œcuméniques, il semblerait que nous n’ayons qu’à avancer des citations de ces derniers sur le sujet qui nous intéresse, mais nous avons le pressentiment qu’en menant la question de cette façon, c’est-à-dire sans aucune réserve, nous n’atteindrons pas notre but, c’est-à-dire que nous ne convaincrons pas les sceptiques. Hélas, la pensée cohérente ou la logique n’est pas le fait de beaucoup d’esprits : pour la majorité, l’habitude a une signification bien plus grande, et les décrets des conciles œcuméniques sont complètement inconnus des chrétiens modernes, à la honte de nos écoles. Parlez des conciles œcuméniques, et tout le monde sera d’accord avec vous, mais dès que vous commencerez à citer leurs canons et leurs décrets, vous sentirez immédiatement que vous vous êtes heurté à un mur de briques, tant ces paroles de l’Église sont nouvelles et peu familières pour l’esprit et le cœur de ses enfants sauvages.

C’est pourquoi, avant d’aborder les enseignements des conciles œcuméniques, arrêtons-nous un instant à la pensée que les Saintes Écritures du Nouveau Testament n’établissent pas de lois ou de règles pour la vie gouvernementale, mais seulement pour la vie personnelle et la vie dans la société de l’Église. Ainsi, il est insensé de poser la question :

« La guerre n’est-elle pas interdite pour un gouvernement chrétien dans le saint Évangile ? ». La question ne peut être posée que sous cette forme : « Un chrétien pèche-t-il lorsqu’il accepte de devenir soldat ? Un roi ou un membre d’une haute instance gouvernementale pèche-t-il lorsqu’il déclare la guerre ou accepte la guerre ? Enfin, un chrétien pèche-t-il s’il contribue au succès d’une guerre en fabricant des armes ? »

Nulle part dans la Sainte Bible, ni dans l’Ancien ni dans le Nouveau Testament, vous ne trouverez une réponse affirmative à ces trois questions.

Un autre orateur me renverra à cette phrase : « Mais pour l’amour du ciel, c’est écrit en toutes lettres : il ne faut pas tuer ! ». Oui, dans nos tribunes parlementaires et dans notre presse, on se référait à ce commandement de Dieu avec une extrême confiance lorsqu’on demandait, en 1906, la fin de la peine de mort pour mutinerie dans l’armée. Je me souviens de l’animation avec laquelle le sénateur Tagantsev parlait au Conseil d’État à cette époque, et à ma question : « Cela signifie-t-il que vous refusez inconditionnellement la participation d’un chrétien à la guerre ou à la répression d’une révolution armée ? », il répondit : « Non ! Pour nous, juristes, cela a une toute autre signification. » Mais alors, à quoi sert le commandement ici ? Y est-il dit quelque chose à propos des avocats ? Il est évident que le professeur en avait besoin non pas en tant que chrétien ou adepte d’un commandement de l’Ancien Testament, mais seulement comme un artifice rhétorique. Et nous voyons à présent que ce moyen très populaire de s’opposer à la guerre en citant le sixième commandement est l’expression soit de l’ignorance, soit de l’hypocrisie, soit des deux ensemble, et, en tout cas, du manque de désir d’entrer sérieusement dans le sujet. Cependant, presque toutes les citations de la Parole de Dieu par nos contemporains sont tout aussi infondées et insincères.

Les dix commandements sont écrits dans le vingtième chapitre de l’Exode. Dans ce même chapitre, les paroles du Seigneur à Moïse et au peuple se poursuivent et se terminent sans discontinuer par le dernier verset du chapitre vingt-trois. Quelles sortes de règles et de lois sont exposées dans ce discours du Seigneur qui commence par les dix commandements ?

Extrayons les mots suivants :

« Si quelqu’un frappe un homme avec dessein de le tuer, qu’il soit puni de mort. » 8 ; « Celui qui aura frappé son père ou sa mère sera punit de mort. » 9 ; « S’il y a déjà quelque temps que le bœuf frappait de la corne, et que le maître ne l’ait point renfermé après en avoir été averti, de sorte qu’ensuite il tue un homme ou une femme, le bœuf sera lapidé et le maître puni de mort. » 10. Dans ce même discours de Dieu, la guerre est mentionnée : « Voici que J’enverrai Mon Ange, afin qu’Il marche devant vous, qu’Il vous garde pendant le chemin et qu’Il vous fasse entrer dans la terre que Je vous ai préparée. Respectez-Le, écoutez Sa voix et gardez-vous bien de Le mépriser, parce qu’Il ne vous pardonnera point lorsque vous pécherez, et parce que Mon nom est en Lui. Si vous écoutez Sa voix et si vous faites tout ce que Je vous dis, Je serai l’ennemi de vos ennemis et J’affligerai ceux qui vous affligent. Mon Ange marchera devant vous, et Il vous fera entrer dans la terre des Amorrhéens, des Héthéens, des Phérézéens, des Chananéens, des Hévéens et des Jébuséens ; car Je les exterminerai.» 11.

 

Les dix commandements du Seigneur se font connaître par la main de Moïse une seconde fois au cinquième chapitre du Deutéronome, et dans le même discours, plus précisément au septième chapitre, le législateur dit ce qui suit : « Lorsque le Seigneur votre Dieu vous aura fait entrer dans cette que vous allez posséder, et qu’Il aura exterminé devant vous de nombreuses nations, les Héthéens, les Gergézéens, les Amorrhéens, les Chananéens, les Phérézéens, les Hévéens et les Jébuséens, qui sont sept peuples beaucoup plus nombreux et plus puissants que vous ; lorsque le Seigneur votre Dieu vous les aura livrés, vous les ferez tous passer au fil de l’épée, sans qu’il en demeure un seul. Vous ne ferez point d’alliance avec eux, et vous n’aurez aucune compassion d’eux.» 12. « Vous exterminerez tous les peuples que le Seigneur votre Dieu doit vous livrer. Votre œil ne sera touché d’aucune compassion pour eux en les voyant, et vous n’adorerez point leurs dieux, de peur qu’ils ne deviennent le sujet de votre ruine. » 13.

Les paroles du législateur se poursuivent jusqu’au chapitre vingt-sept, et au chapitre vingt voici ce qui est dit de la guerre : « Mais quant aux villes qui vous seront données, vous ne laisserez la vie à aucun de leurs habitants ; mais vous les ferez tous passer au fil de l’épée, c’est-à-dire les Héthéens, les Amorrhéens, les Chananéens, les Phérézéens, les Hévéens et les Jébuséens, comme le Seigneur votre Dieu vous l’a commandé » 14.
 

Où se trouve l’interdiction de toute forme de meurtre ? N’est-il pas clair que ni la guerre ni la peine de mort ne sont interdites par le commandement, mais l’homicide personnel inspiré par la haine ou l’arbitraire. « Mais nous ne reconnaissons pas les lois juives, nous ne les considérons pas comme la volonté de Dieu ; nous ne reconnaissons que les paroles du Sauveur », déclarera notre interlocuteur. Mais pourquoi alors citer un commandement de l’Ancien Testament ? On peut être incroyant, mais on doit être honnête au moins jusqu’à un certain point, bien que, bien sûr, pour l’incroyant, il n’y ait pas de différence entre l’honnêteté et la malhonnêteté, le bien et le mal. Oui, et comment croire le Christ si vous reniez Moïse alors que le Seigneur lui-même a dit : « Car, si vous croyiez à Moïse, vous croiriez aussi en Moi, puisque c’est de Moi qu’il a écrit. Mais, si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à Mes paroles ? » (Jean 5:46-47). Plus précisément, notre Seigneur reconnaît directement la condamnation à mort pour avoir déshonoré ses parents comme un commandement de Dieu : « Honore ton père et ta mère ; et : Que celui qui maudira son père ou sa mère soit puni de mort. » (Matt. 15:4); “Car Moïse a dit : Honore ton père et ta mère ; et : Que celui qui maudira son père ou sa mère soit puni de mort. Mais vous dites, vous : Si un homme dit à son père ou à sa mère : Tout corban (c’est-à-dire, don) que je fais vous profitera, vous ne le laissez rien faire de plus pour son père ou sa mère, annulant la parole de Dieu par votre tradition que vous avez établie ; et vous faites encore beaucoup d’autres choses semblables. Alors, appelant de nouveau la foule, Il lui disait : Ecoutez-Moi tous, et comprenez.15.

Eh bien, me demandera le lecteur, à votre avis, quiconque déshonore ses parents doit-il être condamné à mort ? Non, répondrons-nous : des paroles de l’Écriture qui ont été citées, il résulte seulement que, en premier lieu, ni la guerre ni la peine de mort ne sont interdites par le commandement : « Tu ne tueras pas », mais seulement le meurtre non autorisé. Tel est le premier point. En second lieu, il ressort de ce qui a été dit que, dans l’Ancien Testament, le Seigneur lui-même a ordonné à son peuple de mener des guerres d’extermination et de punir de mort des personnes pour certains crimes ; enfin, en troisième lieu, le Christ Sauveur reconnaît ces décrets de l’Ancien Testament comme les commandements de Dieu. Ces commandements ont-ils un sens pour l’Église du Nouveau Testament ? – Non, répondrons-nous, ils n’ont aucune signification obligatoire. L’Église de l’Ancien Testament était en même temps un État lié à un territoire et à un peuple déterminés ; l’Église du Nouveau Testament est un royaume spirituel, non un État ; mais la guerre et la peine de mort, et en général toute sorte de jugement obligatoire, sont l’affaire de l’État, auquel, comme nous l’avons dit, pas une seule instruction du Nouveau Testament ne s’y adresse.

De tout cela, nous avons déjà vu que le Christ notre Sauveur et les Apôtres n’ont pas interdit à leurs disciples de remplir leurs obligations gouvernementales et ont commandé l’obéissance aux gouvernements païens. Il est donc clair que, bien que le Seigneur ait uni ses disciples dans une union ecclésiastique, et non dans une union gouvernementale, il ne leur a pas interdit de former une union supplémentaire pour se défendre physiquement, c’est-à-dire un État. Un État ; mais il n’y aura jamais d’État sans tribunaux, sans prisons et sans guerres, et l’espoir de nos contemporains que la guerre actuelle [la Première Guerre mondiale] sera la dernière de l’histoire est en contradiction directe non seulement avec la réalité et le nationalisme croissant, mais aussi avec les prédictions tout à fait claires de notre Sauveur sur les derniers temps où un royaume s’élèvera contre un royaume, et une nation contre une nation 16.

Certains interlocuteurs citent le pardon accordé par le Christ à la femme accusée d’adultère comme une abrogation de la peine de mort à laquelle elle était soumise selon le commandement de Dieu à Moïse 17. Mais une telle interprétation de cet événement de l’Évangile ne révèle que le manque total d’information sur les Saintes Écritures. Dans le cas présent, le Seigneur a agi en stricte conformité avec la loi de Moïse énoncée dans le XVIIe chapitre du Deutéronome : « Celui qui sera puni de mort sera condamné sur la déposition de deux ou trois témoins ; et nul ne mourra sur le témoignage d’un seul. Les témoins lui jetteront les premiers la pierre de leur propre main, et ensuite tout le reste du peuple le lapidera, afin que vous enleviez le mal du milieu de vous. » 18. En outre, il était bien sûr exigé que le témoin ainsi que l’arbitre ne soient pas eux-mêmes coupables du même crime, comme le montre le livre du prophète Daniel 19. En accord strict avec ces ordonnances de l’Ancien Testament, le Seigneur dit à ceux qui amenaient la femme adultère accusée : « Que celui d’entre vous qui est sans péché lui jette la pierre le premier. » 20. Et lorsque, « accusés par leur propre conscience », ils furent tous partis jusqu’au dernier, alors le Seigneur, toujours en accord strict avec la loi de Moïse, demanda : « Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle dit : Personne, Seigneur. Jésus lui dit : Moi non plus, Je ne te condamnerai pas ; va, et désormais ne pèche plus. » 21.

Nous espérons qu’après ce qui vient d’être dit, tous les adeptes de Tolstoï, les piétistes et les mennonites seront obligés de reconnaître que ni dans l’Ancien ni dans le Nouveau Testament il n’y a d’interdiction de participer à la guerre ; mais, bien entendu, nous n’espérons pas que les citations qui ont été présentés auront déjà changé leur façon de penser ; nous ne l’espérons pas parce que la première de ces trois sectes ne croit pas du tout à l’Évangile, ni à la dignité divine du Christ, mais ne choisit dans la Parole de Dieu que ce qui lui plaît ; la seconde et la troisième croient très faiblement, et, sans nier la divinité du Christ, elles placent les buts de leur colonisation allemande plus haut que le salut de leur âme et lisent la Bible plutôt pour nier l’autorité de l’Église que pour être guidées par elle dans leur vie.
 

Metropolitan Anthony Khrapovitsky, Christian Faith and War, Jordanville, New York: Holy Trinity Monastery, 1998

Traduction : hesychia.eu

 


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  1. Rom. 13:1-7
  2. I Pierre 2:13
  3. 1 Tim. 2:1, 2
  4. Math. 22:21
  5. Luc 4:13
  6. Luc 23, 41
  7. Romains 13,1-7
  8. 21:12
  9. 21:15
  10. 21:29
  11. 23, 20-23
  12. 7, 1-2
  13. 16
  14. 20, 16-17
  15. Marc 7:10-14
  16. Matt. 24:6-21; cf. Luc 21:10-26
  17. « Si quelqu’un abuse de la femme d’un autre, et commet un adultère avec la femme de son prochain, que l’homme adultère et la femme adultère meurent tous deux. » Lev. 20:10
  18. v. 6-7
  19. « Et comme on la conduisait à la mort, le Seigneur suscita l’esprit saint d’un jeune enfant nommé Daniel, qui cria à haute voix : Je suis pur du sang de cette femme. »  13,46
  20. Jean 8:7
  21. v. 10-11

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