Histoire, La foi vivante de l’église orthodoxe, Luminaires de l'Église, Orthodoxie, Vivre la foi ...

Saint Nicolas Vélimirovitch – Le christianisme et la guerre I / III

8 mars 2022

I – Introduction

Comme ces sept dernières années sont passées vite, mon cher ami, depuis que nous nous sommes dit adieu à l’Université. Peu après notre séparation, j’ai pu vous saluer en tant qu’ecclésiastique anglais, et peu de temps après, vous avez eu l’occasion de me saluer en tant qu’ecclésiastique serbe. Et notre correspondance s’est poursuivie sans interruption jusqu’à aujourd’hui.

Soldats russes partant au front en 1914.

Vous souvenez-vous de la belle lettre que vous m’avez adressée un jour : « Pour la véritable amitié entre deux hommes, il n’existe ni distance, ni temps, ni espace ; ni frontière nationale, ni différence de gouvernement, ni différence de confession, ni différence de race ne jouent ici un rôle quelconque ». Sur ce point, je suis d’accord avec vous. En vérité, une telle amitié existait entre nous. Mais il est préférable d’avoir et de ressentir cette amitié plutôt que de la décrire. L’essentiel est que nous étions amis, même à cette époque où nos nations respectives n’étaient pas encore alliées, et que nous sommes amis aujourd’hui, et que nous serons amis demain, quelle que soit la configuration des étoiles dans le ciel ou des nations sur la terre. Mais nous devons tous deux avouer que cette guerre a apporté un changement considérable dans notre vie spirituelle : elle a renforcé notre amitié. Car c’est une règle que la guerre rend les parents plus proches et les amis plus amicaux. Comme les oiseaux poussés par la tempête se rassemblent en compagnies, se blottissant chacun sous l’aile de l’autre, ainsi nous, mortels, devant cette terrible tempête de la guerre, nous rassemblons plus étroitement les uns aux autres, nous nous comprenons plus intimement, et nous nous interrogeons plus intimement les uns les autres. « Que pensez-vous de la guerre ? » Je vous l’ai demandé, et vous m’avez envoyé vos sermons et vos discours édités pendant cette guerre. J’ai pu y percevoir combien chacun de vos nerfs a frémi sous ces événements catastrophiques.

Et vous m’avez posé la même question. Le jour de Noël, j’ai reçu de vous un périodique américain, Everybody’s Magazine, dans lequel j’ai trouvé un article souligné par vous : « Si les chrétiens se battent, sont-ils encore chrétiens ? » Depuis quelques mois, j’ai retardé ma réponse. Car entre-temps, la Serbie vivait une deuxième crise dévastatrice : les épidémies (la première crise était l’invasion des Autrichiens). J’étais donc entièrement absorbé par l’effroyable misère au milieu de laquelle je me trouvais. Permettez-moi, mon ami, de vous donner maintenant une réponse dans la forme et le style que vous avez souhaité.

 

II – Comment concilier le christianisme avec la guerre ?

N’est-il pas vrai, mon ami, que l’Europe doit aujourd’hui avoir un peu honte devant l’Asie ? Non pas que l’Asie ait donné tous les dieux à l’humanité et l’Europe aucun, mais parce que l’Europe mène aujourd’hui une guerre que l’Asie ne pourrait que décrire — sous la forme apocalyptique la plus imaginative. L’Europe, qui l’autre jour encore brillait de tous ses feux devant le monde, ne répand aujourd’hui autour d’elle que des rayons rouges et noirs, rouges du sang et noirs du péché. Nation contre nation, race contre race, foi contre foi, raison contre raison, terre contre ciel et, semble-t-il, ciel contre terre. Chronos, affamé, dévore sans pitié ses enfants. Toutes les catastrophes naturelles antérieures dont l’humanité a souffert n’étaient que des piqûres d’épingle en comparaison de celle que les hommes se sont infligée à eux-mêmes. Tous les tremblements de terre et les déluges, toutes les conflagrations et les pestes des deux ou trois cents dernières années n’ont pas consumé autant de vies humaines, et apporté à ceux qui ont survécu, autant de douleur, de souffrance et de désespoir que cette guerre européenne l’a déjà fait. La terre, aurait-elle glissé de son axe ? se demandent les sages. Ou bien est-ce que les puissances occultes du mal ont tellement obscurci le cerveau des peuples européens qu’ils ne savent plus ce qu’ils font ? se demandent d’autres. Comment se fait-il que les hommes qui se sont levés pour clouer leurs voisins sur la croix ne comprennent pas qu’en crucifiant les autres, ils se crucifient eux-mêmes ? Et qu’en causant de la douleur aux autres, ils doivent inévitablement se causer la même douleur à eux-mêmes ? Et qu’en détruisant la vie des autres, ils détruisent aussi leur propre vie ? « Car nous sommes membres les uns des autres. »1

Où est la religion, où est le christianisme ? Où est, en fait, le christianisme ? Comment concilier le christianisme avec la guerre ? Pourquoi le christianisme n’arrête-t-il pas la guerre ? Le monde entier est perplexe et troublé par ces questions ; des questions auxquelles il ne trouve nulle part une réponse claire. En lisant les journaux américains, je constate que le Nouveau Monde réfléchit à ces questions avec non moins de douleur que l’Europe – même plus douloureusement que l’Europe – comme une fille est plus affligée par les souffrances de sa mère que la mère elle-même. Mais personne dans le monde entier ne ressent le poids de ces questions comme les ministres du Christ et les prédicateurs de son Évangile. Soyez assuré, mon ami, que le peuple chrétien et le clergé en Serbie « ne vivent pas seulement de pain », mais cherchent aussi sincèrement et douloureusement les réponses à ces questions. Permettez-moi donc, en tant que ministre de l’Évangile et témoin oculaire de la guerre, de vous donner la même réponse que celle que j’ai donnée à mes ouailles serbes, poussé que je suis par les mêmes besoins spirituels que tous les hommes religieux de l’Ancien et du Nouveau Monde.

 

III – Où est le christianisme ?

Où est le christianisme ? Telle est la première question. Ma réponse est la suivante : Seulement là où se trouve la souffrance. Si je dis cela, je ne parle pas seulement de la souffrance imméritée, mais aussi de la souffrance méritée. Car toute souffrance purifie et ennoblit. La souffrance pour la justice est toujours une souffrance causée par les autres et la souffrance pour l’injustice est toujours une souffrance causée par nous-mêmes. L’homme juste souffre toujours, soit pour ceux qui ont vécu avant lui, soit pour ceux qui vivront après lui. La cause de la souffrance d’un homme juste se trouve à l’extérieur de lui ; la cause de la souffrance d’un homme mauvais se trouve en lui. De même que la souffrance renforce l’homme juste dans sa bonté, de même elle affaiblit l’homme mauvais dans sa méchanceté. L’homme qui n’a jamais souffert ni dans son âme ni dans son corps n’a jamais été un chrétien. L’histoire du christianisme est l’histoire de la souffrance sous toutes ses formes. L’Église a souffert soit des persécutions, soit des faveurs de l’État ; soit de la tyrannie extérieure, soit de l’orgueil intérieur ; soit des philosophes, soit des fous ; soit des fanatiques, soit des apostats ; soit des entraves extérieures ou intérieures. Toute l’histoire de l’Église est tissée de souffrance, celle des pécheurs et celle des saints. Les pécheurs ont souffert en commettant le péché, les saints en l’observant. Ce n’est pas seulement Judas qui a souffert à cause de son grand péché, mais beaucoup d’autres, hier et aujourd’hui, qui ont pris conscience de l’énormité de son péché. En ce qui concerne Judas, je pense que son âme était très proche du christianisme au moment où il a subi les agonies du remords. Et l’apôtre Paul a souffert à la seule vue de l’idolâtrie d’Éphèse et de l’immoralité de Corinthe ; comme il a souffert aussi quand il a vu dans une vision spirituelle les souffrances de la créature dans le travail de l’enfantement. 2. Toutes les grandes âmes, dans les temps païens comme dans les temps chrétiens, ont préféré demeurer dans leur solitude mélancolique (Homère, Héraclite, Orphée, Pythagore, Platon, Virgile, Sénèque, Basile, Dante, saint Bernard). Quand je demandais à un de mes élèves : « Comment vous imaginez-vous les grands Pères de l’Église ? », il me répondit : « Comme des hommes qui ne sourient jamais », et je n’ai pas objecté à cette réponse. En effet, il nous est très difficile d’associer un sourire à la bouche de Chrysostome, d’Athanase ou de Knox ; de même qu’il nous est tout aussi difficile de séparer le sourire des lèvres du prêtre de Dionysos. Mais voici : de même que de grands hommes ont exprimé le christianisme en formules éthico-dogmatiques, de même d’autres l’ont exprimé en vers, en couleurs, en bois ou en pierre. Dante, de Vinci, Michel-Ange et les grands bâtisseurs de la cathédrale de Reims, de Notre-Dame et de l’abbaye de Westminster ont vécu, comme on le sait, dans la même mélancolie secrète que les premiers Pères de l’Église. Tels étaient aussi les grands représentants modernes du christianisme : Butler, Lammenais, Solovief, Newman. Tels furent, enfin, les grands représentants du christianisme en littérature : Tolstoï, Dickens et Dostoïevski. Il n’y a jamais eu dans le monde de saint heureux à l’ombre des péchés de ses voisins. Pourquoi toutes les grandes âmes doivent-elles être mélancoliques ? Parce que les grandes âmes souffrent toujours des souffrances de leurs semblables. Mais si sombre que soit la mélancolie d’une âme chrétienne pure, elle n’est jamais plus sombre que les nuages à travers lesquels percent les rayons du soleil. L’optimisme chrétien, comme le soleil lointain de notre univers, pénètre ces couvertures mélancoliques qui enveloppent les âmes justes et souffrantes de la terre. Ainsi, le christianisme n’est pas une lumière qui éblouit par l’éclat de ses rayons brûlants, mais plutôt une lumière douce et tendre qui traverse les nuages pour rencontrer et saluer nos âmes languissantes.

Y a-t-il un esprit chrétien parmi les peuples européens qui se battent actuellement ? Telle est la question. Oui, mon ami, je dis oui. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, je maintiens que dans cette guerre, où l’on tue chaque jour des dizaines de milliers d’êtres humains, l’esprit chrétien se manifeste davantage que dans la paix d’hier.

 

IV – L’orgueil et la destruction des valeurs traditionnelles

Ne pensez-vous pas, mon Ami, que la première qualité de l’esprit chrétien est l’humilité ? Le nom de la paix d’hier était Orgueil. Les hommes de science étaient fiers de leur savoir, les artistes de leur art, les nobles de leurs titres, les riches de leurs richesses, et tous les hommes vivants, en général, étaient fiers de leur immense supériorité dans l’ordre des choses 3. Avant cette guerre, les hommes de science s’imaginaient qu’ils savaient tout, les nobles qu’ils étaient les seuls à posséder la noblesse d’esprit, les riches qu’ils possédaient toutes les richesses, et tous les hommes vivants, en général, que la vie humaine avait infiniment plus de valeur que toute autre forme de vie dans la nature : « Notre grand esprit scientifique peut sauver l’humanité de toutes les calamités », disaient les hommes de science. « Notre richesse est le plus grand bien de l’humanité », pensaient les riches. « Nos traditions et notre prestige maintiennent la société en équilibre », imaginaient les nobles. « Notre vie est ce qu’il y a de plus grand dans la nature, sans nous la nature serait aveugle et morte », telle était la conviction de la majorité des hommes vivants. Les gens parlaient du Sur-esprit, du Sur-pouvoir, du Sur-état (v. Bernhardi), du Sur-homme (Nietzsche). Pendant ce temps, les puissantes Alpes regardaient avec mépris toutes les œuvres, les avis et les générations humaines qui, l’une après l’autre, à leur pied, marchaient vers leur oubli et leur tombe. L’esprit d’humilité s’était réfugié dans la hutte du paysan et habitait parmi les pauvres et les petits. Certes, les cathédrales bondées sont restées dans les villes, mais le peuple, dans son orgueil, était aussi froid que les colonnes antiques. L’esprit d’humilité était absent de la politique, de la science, de l’art, de l’usine, et même de la théologie. La religion avait été réduite à la théologie, la théologie à la science, et la science à la vanité. Cet esprit régnait surtout en Allemagne. Le nietschianisme, qui n’était que la phase finale de la montée progressive de l’orgueil et de la disparition de l’humilité en Allemagne au cours des cent dernières années, avait pénétré, comme l’eau pénètre une éponge, toute la vie intellectuelle et sociale de l’Allemagne. Dans plus de vingt universités allemandes, on prêchait et on enseignait essentiellement le nietschianisme. Je parle en tant que témoin, car j’ai moi-même cherché la lumière dans les universités allemandes. Dans ces universités, tous les principes, religieux, sociaux, philanthropiques, et éthiques, ont été détruits plus radicalement que les obusiers d’aujourd’hui ne détruisent les monuments de la culture, à travers lesquels, comme par leurs yeux, nous regardent les générations qui nous ont précédés sur cette planète. La critique biblique — ces tristes docta ignorantia — n’a laissé de la Bible, comme le dit justement Lange, que les couvertures. La critique philosophique a soit créé des idoles, soit agité l’idolâtrie, soit exposé les grands penseurs au ridicule. La critique littéraire n’a fait que rependre du sable chaud sur les vertes prairies. La critique juridique a rongé et corrompu les solides conceptions juridiques millénaires et ne s’est arrêtée avec respect que devant la monstrueuse théorie de l’Ueberstaat (Sur-État), que l’ambition d’hommes névrosés a créée pour un jour. La critique sociale — même au milieu du XIXe siècle — n’aboutit qu’à un mot d’ordre : der Einzige und sein Eigenthum (Max Stirner). 4

Les autres nations d’Europe ont été quelque peu distancées par l’Allemagne dans sa destruction insensée du bien et sa construction de monstruosités. Mais l’Angleterre et la Russie sont restées le plus loin derrière sur cette route, sur laquelle l’Allemagne a entraîné le monde entier vers une ruine certaine. Même dans ces derniers pays, pourtant les plus sobres, il y avait assez de place pour l’orgueil, scientifique, commercial, artistique et politique.

Puis vint la guerre.

Je ne connais pas d’homme qui puisse me convaincre que dans la paix d’hier il y avait plus d’esprit chrétien que dans la guerre d’aujourd’hui, — je dis dans la paix d’hier, où l’homme n’avait régulièrement que son seul chagrin égoïste, par rapport à la guerre d’aujourd’hui, où l’homme a de nombreux chagrins pour plusieurs milliers d’êtres humains, ses frères et ses compatriotes.

Puis vint la catastrophe, et l’orgueil s’en alla. L’homme de science s’est retrouvé dans la même tranchée que l’ignorant ; le pair avec le pêcheur, le millionnaire avec le mendiant. Quel contraste impitoyable avec la paix ! Quel changement soudain dans les âmes et les cœurs. Quelle réconciliation rapide dans l’appréciation des nouveaux critères de valeur ! L’homme scientifique s’aperçut qu’il n’était pas beaucoup plus sage que l’homme ordinaire. Le pair s’étonnait de la noblesse d’âme inattendue qu’il trouvait chez le pêcheur. Le millionnaire se sentait soumis au même sort que le mendiant. L’humilité ! Un certain professeur, très fier de son grand savoir, qui a été longtemps dans les tranchées de Belgrade avec les simples paysans, m’a dit un jour :

« J’ai été longtemps dans les tranchées et je suis désolé de les quitter. Je suis maintenant très déçu. Je suis convaincu que ces simples paysans ont beaucoup plus de connaissances et de nobles sentiments que je ne l’ai jamais supposé ; tandis que j’en suis venu à voir que, par rapport à eux, j’en sais moi-même beaucoup moins, et que je ressens beaucoup moins de noblesse, que je ne l’ai jamais imaginé. »

C’était une confession sincère. Je suppose, mon ami, que pour vous aussi, de telles confessions ne sont pas inconnues dans votre paroisse.

 

V – La nature souffre en silence

Mais regardez, mon ami, comme c’est merveilleux ! Outre l’humilité de l’homme envers l’homme qui s’est manifestée au cours de cette guerre, une autre sorte d’humilité est apparue, c’est l’humilité de l’homme envers toute la nature. Pendant toute une année, les hommes ont été proches de leurs animaux, dormant à côté de leurs chevaux et mangeant à côté de leurs bœufs. Pendant toute une année, des millions d’hommes parmi les plus sains du monde se sont assis et se sont couchés sous la terre, leur visage reposant sur le sol et embrassant le bois et les pierres dans leur sommeil. Depuis une année entière, des hommes ont regardé les herbes et les plantes, et même les racines des plantes, les touchant dans la plus grande intimité, les respirant, vivant avec elles et chuchotant avec elles. De cette intimité de l’homme avec la Nature, rien n’est exclu : ni l’eau, ni la lumière, ni les cieux étoilés, ni la pluie, ni le brouillard ; ni la hauteur des Carpates, ni la profondeur de l’Atlantique. Dans cette étroite communion avec la Nature, chaque homme a éprouvé la même déception que le professeur dont j’ai parlé m’a dit avoir ressentie parmi les paysans serbes dans les tranchées de Belgrade. C’est-à-dire que chaque homme a regardé plus profondément dans la Nature ; dans sa vie, dans son âme même ; et, en regardant plus profondément, il a découvert que la Nature vit aussi ; vit, et souffre et pense ; elle pense par quelque organe transcendantal secret, comme lui-même le fait, lui, le roi orgueilleux de la nature. En outre, tout homme qui prête l’oreille aux battements de cœur de la Nature perçoit que la vie de la Nature est plus saine et harmonieuse que celle de l’homme. Et cette précieuse expérience conduit à l’humilité. J’ai personnellement fait cette expérience et, comme je l’ai constaté, beaucoup d’autres qui ont passé au moins quelques semaines d’intimité avec la terre et ses enfants silencieux — les éléments — l’ont fait aussi. La nature souffre en silence. J’étais dans les tranchées en tant qu’aumônier militaire. J’ai écouté la respiration de la terre, et j’ai senti l’harmonie de la vie dans le monde végétal ; j’ai senti aussi la douleur des arbres déchirés par le plomb et le fer, et j’ai compris la soumission infinie du bœuf et du cheval à une volonté supérieure, étrangère. Et comme j’avais tout écouté, tout senti, tout compris, je me suis posé la question que beaucoup d’autres se sont posée : L’homme est-il vraiment plus grand et meilleur que la nature ? Vous êtes-vous posé cette question, mon ami ? L’humilité !


Christianity and War, Letters of a Serbian to his English Friend, New York, 1915

 

Traduction : hesychia.eu

 


Vous avez relevé une erreur dans le contenu de cette page, et vous souhaitez la signaler ? Pour cela, surlignez-la, puis appuyez simultanément sur les touches Ctrl + Entrée. Nous procéderons aux corrections si nécessaire et dès que possible.


 

 

  1. Éphésiens IV, 25
  2. Rom. VIII. 22
  3. cf. Jérémie IX. 23 Voici ce que dit le Seigneur : Que le sage ne se glorifie pas dans sa sagesse, que le fort ne se glorifie pas dans sa force, et que le riche ne se glorifie pas dans ses richesses
  4. L’individu isolé et ses possessions

Sur le même thème

Pas de commentaire

Laisser un message

Rapport de faute d’orthographe

Le texte suivant sera envoyé à nos rédacteurs :