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Un martyr au monastère de Niamets

12 novembre 2020

par le moine Parfény

Visite au monastère de Niamets ; l’histoire du rabbin érudit devenu moine du grand habit et martyr 1


52 – Sur le monastère de Niamets, brièvement

Et nous, avec le Père Jean, nous sommes restés au skite pour l’hiver. Je laissai mon disciple et passai dans la cellule de Père Jean, et nous commençâmes de vivre en union de pensée, en frères. Puis nous allâmes pour un moment au monastère orthodoxe de Niametz [Neamț] , suivant en cela le grand staretz Païssi Velitchkovsky 2 Le monastère de Niamets est distant de notre skite d’environ trente verstes. Nous y arrivâmes un samedi, nous nous y reposâmes. Nous allions à l’église à l’office, et nous vénérions le tombeau du grand staretz Païssi, qui est inhumé à l’intérieur d’une grande église ; au-dessus de lui brûle une lampe. L’office se déroulait tout à fait solennellement, selon la règle athonite et la coutume ; tout le service se chantait en deux chœurs et en deux langues ; à droite les Moldaves en moldave, et à gauche les Russes en russe ; et de même la Liturgie. Le monastère est grand et riche, tout en pierre ; tout autour des corps de bâtiments de deux ou trois étages ; il s’y trouve en tout jusqu’à huit cent frères. Il a sous son obédience beaucoup de skites et de cellules d’ermites. Il est situé aux avant-postes des monts des Carpates. L’Église est au nom de l’Ascension du Seigneur. Mais de cela il sera parlé après.

53 – Début de l’histoire du rabbin juif

Au monastère de Niamets, à l’hôtellerie, les frères moines nous ont parlé d’un moine du grand habit (malheureusement, après tant d’années, j’ai oublié son nom). Ils nous ont raconté ce qui suit. Je ne dirai que ce dont je puis me souvenir.
Il avait été auparavant un rabbin juif et avait passé sa vie à Jérusalem et en Égypte, à Salonique et Constantinople. C’était un grand érudit et un ascète, très respecté de tous les Juifs. Il avait près de lui vingt personnes qui ne le quittaient jamais, elles étaient liées à lui par l’affection. Tous les Juifs voulaient voir son visage. Ayant lu toutes les prophéties concernant le Messie, il reconnut Jésus Christ comme étant le véritable Messie, mais il garda ce secret pendant de nombreuses années. Il traversa beaucoup de pays et de villes puis, de Constantinople, il arriva en Valachie et visita Bucarest. De là, à la demande des Juifs moldaves, il se rendit en Moldavie, à Jassy, mais déjà, au long de son parcours, il n’entrait plus dans les lieux juifs, mais s’arrêtait partout chez les chrétiens, et chaque nuit il parlait à ses élèves, leur faisait comprendre ce qu’il en est du Messie et produisait les prophéties selon lesquelles le Messie devait être déjà arrivé depuis longtemps. Ayant traversé la ville de Fokchane, où la route se sépare en deux directions, l’une vers Jassy et l’autre vers Niametz, il s’y arrêta pour se reposer. Et dans la nuit, il dit à ses élèves, avec des larmes :

54 — Discours du rabbin à ses élèves et leur réponse

« Mes enfants bien-aimés, maintenant est arrivé pour vous le moment de me prouver votre affection, et de me montrer réellement votre confiance en moi : dîtes-moi, comme devant Dieu Très-Haut et Tout Puissant, si vous me respectez, écouterez-vous ce que je vais vous dire ? »

Ils tombèrent tous à terre, se mirent à pleurer et commencèrent à lui dire :

« Père, et Maître, et notre Guide, grand rabbin, égal aux prophètes ! Tu es passé par beaucoup de pays et de terres, l’Asie, la Palestine et l’Afrique, maintenant tu passes en Europe, et partout tu visites et consoles les pèlerins, et nos juifs dispersés parmi les nations, et tu les affermis tous dans la foi de Moïse, et tu les guides tous vers les vertus, et toi-même, tu n’amasses aucune richesse passagère et périssable, et tous les jours tu mortifies ta chair par le jeûne, et tu ne te soucies de rien de terrestre, mais tu as tourné tout ton esprit vers Dieu. Et comment pourrions-nous ne pas t’aimer ? Nous sommes indignes même de regarder ta face. Et nous t’aimons tant que nous donnerions nos âmes pour toi, et nous te respectons comme un prophète, car nous savons que Dieu est avec toi et t’écoutera en tout, comme Moïse. »

Et lui, ayant écouté cela, leur dit : « Je vais vous dire : par exemple, si j’avais voulu croire en Christ et me faire baptiser, seriez-vous alors d’accord avec moi ? » Ils répondirent : « Comme cela te convient, Père – où tu iras, nous aussi : nous ne te quitterons pas. »

55— Discours du rabbin à ses élèves, sur le Messie et Jésus-Christ

Alors, il leur dit avec des larmes ce qui suit :

Enfants, écoutez-moi, votre père et maître, inclinez vos oreilles vers moi, et soyez attentifs à ce que je vais vous dire : je veux vous révéler une grande joie, qu’avait prédite tous les prophètes, je veux vous montrer ce grand Prophète dont Moïse le prophète a dit : ‹ Ton Dieu te suscitera du milieu de toi, d’entre tes frères, un prophète tel que Moi : vous L’écouterez › (Deut. 18,15). Je veux, mes enfants bien-aimés vous annoncer l’avènement du Messie dans le monde. Ô que soit béni le soir où je veux vous révéler ce mystère, dépassant l’intelligence humaine ! Je veux vous montrer le chemin direct et sans possibilité de s’égarer, vers le royaume céleste, dans notre patrie du ciel. Vous savez, mes enfants, que je suis né de parents juifs d’une des célèbres et antiques tribus, j’ai été élevé selon la coutume juive et ai appris la Loi de Moïse, et dès mon plus jeune âge j’ai aimé le Seigneur mon Dieu. Depuis ma jeunesse je me suis consacré à son service, je n’ai pas voulu me lier par le mariage, n’ai pas désiré prendre femme, j’ai rejeté tout souci du monde, me suis adonné à l’étude pendant de longues années, et j’ai étudié chez de nombreux maîtres, et toute la loi et les prophètes. Puis, j’ai considéré notre triste situation et la punition de Dieu sur nous et Sa colère. Car maintenant 1800 ans sont passés depuis notre dispersion parmi les nations, foulés aux pieds dans tout l’univers. Et nous n’avons ni royaume, ni ville, ni temple, ni sacrifice. J’ai beaucoup souffert de tout cela, beaucoup pleuré et sangloté que nous ayons à ce point irrité le Seigneur Dieu ; et pourquoi S’est-Il à ce point fâché contre nous, et nous a puni sans aucune pitié ? Car Il nous a chassé de Sa Sainte ville de Jérusalem, et nous a disséminés sur toute la face de la terre, sous le mépris de toutes les nations. Il a détruit jusqu’aux fondations notre Temple divin avec le Saint des Saints, et a supprimé nos sacrifices, et ne reçoit plus les sacrifices par nos mains, et nous n’avons plus aucun prophète qui nous découvrirait quelque miséricorde divine. Mais nous nous trouvons dans le total éloignement de Dieu depuis déjà 1800 ans, et le Seigneur ne nous a fait aucune grâce, et pour l’avenir il n’y a pas non plus d’espoir de recevoir quelque chose. J’ai beaucoup réfléchi à cela, et versé de larmes, et j’ai recherché les raisons à cela ; en quoi avons-nous irrité Dieu ? Il semble que nous gardons dans toute sa rigueur la Loi de Moïse, nous accomplissons les traditions de nos pères, nous n’adorons pas d’idoles et ne nous unissons pas à des croyances étrangères : mais nous n’accomplissons que tout ce que Dieu Lui-même a ordonné et que les prophètes nous ont appris. Pourquoi le Roi des Cieux nous a-t-Il alors si cruellement puni, qu’elle en est la cause ? J’ai questionné à ce sujet beaucoup de rabbins et de maîtres, mais tous me répondaient par l’ignorance, et le rapportaient aux voies impénétrables de Dieu. Mais je souffrais et pleurais sans cesse, je m’étonnais beaucoup de nos juifs, qui s’exercent à toutes sortes de vanités, soucis, délices, richesses et jouissances de ce monde. Car lorsque nous sommes sous la colère de Dieu, séparés de Lui, nous ne vivons plus que pour la souffrance : et j’ai trouvé que vivre sans Dieu n’est que torture — C’est pourquoi je suis allé dans la Sainte ville de Jérusalem, que Dieu de tout l’univers S’était Lui-même choisie pour Demeure, bien que maintenant nous possédions les langues ; et j’espérais apaiser mon chagrin, puisque au moins, j’allais vivre en ce lieu choisi par Dieu où les Prophètes avaient vécu ainsi que nos pères, où fut érigé le Temple au Dieu Très-Haut, où était offert le sacrifice quotidien, et où Dieu écoutait les prières de nos pères. J’espérais y fléchir le Seigneur mon Dieu et obtenir ne serait-ce qu’un humble zèle pour Lui, et consoler mon âme souffrante. Arrivé à Jérusalem, j’y vécus de nombreuses années, ce que vous aussi savez, et voilà que j’ai vieilli. Et que vous dirais-je ? Là-bas, je ne trouvais pas non plus le repos pour mon âme, mais une souffrance accrue. Chaque jour, je montais sur mon toit, je me tournais vers l’orient, et je regardais le mont Amorie choisi par Dieu, vers le lieu même où avait été élevé par Salomon le Temple au Dieu Très-Haut, dans lequel nos pères offraient le sacrifice quotidien. Aujourd’hui, ce même lieu est vide, entre les mains des Turcs païens, et en son milieu se tient la mosquée d’Omar ; et pour nous juifs, le Saint lieu est tout-à-fait inabordable. Et moi, je tombais à terre de chagrin, et versais beaucoup de larmes, et j’implorais la Miséricorde de Dieu sur moi — afin qu’il ne soit pas jusqu’au bout en mauvais termes avec moi, et ne se fâche définitivement. Et lorsque je me relevais et tournais la face au nord, vers la montagne de Sion, et que j’y voyais un grand temple avec deux coupoles construit au-dessus du Tombeau de Jésus-Christ, dans lequel se rassemblent les nations pour la vénération, des quatre coins de l’univers, ce temple perçait mon cœur de part en part et pesait sur ma conscience, et j’étais dans le doute. Je restais de nombreux jours sans manger, et je suppliais Dieu en pleurant de me découvrir ce mystère et de me montrer Sa Sainte Église, et à cause de quoi et pourquoi Il a détruit notre temple légal, rejeté et supprimé le don de notre sacrifice selon la Loi de Moïse, et pourquoi ce second Temple, qui est à Sion, est glorifié dans tout l’univers, et se glorifie par des miracles, et que ces deux gloires nous sont inaccessibles ? Et je demandais au Seigneur Dieu Sa Grâce, qu’il me pardonne, malheureux que je suis, et me guide sur le chemin de la vérité. Puis, naquit dans mon âme un fort désir de rechercher et de savoir ce qui concerne Jésus-Christ, et le temps où doit venir le Messie : et je commençai à scruter les prophéties.

Alors le Seigneur me révéla clairement par les Prophètes le moment de l’avènement du Messie : parce qu’Il doit apparaître à la fin des semaines de Daniel, et après la destruction du pouvoir juif, dans le temps même, où était Jésus-Christ. Alors l’avènement du Messie dans le monde s’ouvrit clairement à moi. En vérité, Jésus-Christ est le Messie, envoyé par Dieu pour racheter et libérer le genre humain par Son sang, de l’œuvre du diable. De Lui, le Prophète Moïse a écrit : ‹ Le Seigneur ton Dieu, te suscitera parmi tes frères, un Prophète comme Moi, vous L’écouterez › (Deut. 18, 15). Tous les Prophètes ont parlé de ce Jésus, de Sa naissance et de Sa vie, des miracles et des souffrances, et de Sa mort, et de Sa résurrection. Et bien que ce soit par jalousie que nos pères l’aient crucifié, ils ont par cela définitivement irrité le Seigneur Dieu. Et cette colère, nous, leurs enfants, nous la portons sur nous jusqu’à présent. Pour ce péché, le Seigneur Dieu s’est éloigné d’eux, a détruit leur ville, a rasé leur temple jusqu’aux fondations, a supprimé le sacrifice, et les a eux-mêmes dispersés dans l’univers entier, sous l’opprobre de toutes les nations. Et nous sommes sous cette colère jusqu’à aujourd’hui. Maintenant, 1800 ans sont passés, et nous n’en apercevons pas la fin. Et toute Sa Grâce, le Seigneur Dieu L’a transmise à Ses nouveaux serviteurs appelés chrétiens. Et je veux me libérer du péché de nos ancêtres et me rendre digne de la Miséricorde divine et de Sa Grâce dans ce siècle, et de la béatitude éternelle après ma mort. Je crois dans le Seigneur Jésus-Christ, et je le reconnais comme Fils de Dieu, vrai Dieu et vrai Homme, Messie annoncé par tous les Prophètes. Et je veux être baptisé au nom de la Sainte Trinité, et être un chrétien sincère.
Mes enfants bien-aimés ! Ceux qui veulent me suivre et effacer notre péché ancestral, et faire la paix avec Dieu, et hériter de la béatitude éternelle, allons au monastère de Niametz, pour y recevoir le saint Baptême. Et ceux qui ne le désirent pas, qu’ils aillent à Yassi, chez les juifs. Dès ce matin, deux chemins s’ouvrent à nous : l’un, vers la Grâce nouvelle du Christ — l’autre, vers la loi ancienne à Yassi.

 

56 – Réponses des disciples et leur foi en Christ

Les disciples dirent à l’unisson :

« Père, et notre Maître et bon pasteur ! Si tu as pu atteindre ce grand mystère, et que tu reconnaisses Jésus-Christ comme étant le Messie véritable, et que tu veuilles quitter la Loi de Moïse et recevoir le baptême, nous ne te laisserons pas non plus, nous te suivrons et nous nous ferons baptiser. Tel que tu étais, notre Maître, dans la Loi de Moïse, soit aussi notre Maître en la loi du Christ. Nous savons que Dieu est avec toi. »

Et une joie indicible se répandit parmi eux. De joie, ils pleurèrent beaucoup, et passèrent toute la nuit sans dormir.

 

57 – Leur arrivée au monastère de Niametz, le baptême et leur entrée au monachisme —

A l’aube, ils allèrent au monastère de Niametz, et dès leur arrivée se firent connaître à l’archimandrite. L’archimandrite, tout d’abord, prit peur, puis il informa le Métropolite Benjamin. Le métropolite ordonna de les éprouver d’abord, ensuite de les proclamer et les baptiser. Lorsqu’ils furent baptisés, ils désirèrent tous le monachisme ; le rabbin, quant à lui, fut tonsuré au grand habit ; il vécut dans le silence et s’exerça à la prière spirituelle, qui se pratique sans paroles dans le cœur. Il fut pris d’un tel amour pour le Seigneur Jésus-Christ, qu’il ne voulut plus s’en séparer par la pensée, même pour un court instant. Et pour cela, il reçut de Dieu le don de clairvoyance – et il avait aussi le désir de verser son sang pour son Seigneur Jésus-Christ.

58 – Recherches du rabbin par les juifs, et complot contre sa vie

 

Très vite les juifs se saisirent de l’affaire du rabbin, et supposèrent qu’il était retourné de Valachie en Palestine. Ils le cherchèrent pendant de nombreuses années, et ne le trouvèrent nulle part. Puis ils se mirent à le chercher parmi les chrétiens. Finalement ils apprirent que le rabbin et ses disciples se trouvaient en Moldavie, au monastère de Niametz, qu’ils avaient été baptisés et tonsurés au monachisme. Ils furent pris contre lui d’une grande colère et, suivant l’opinion générale, cherchèrent une occasion de l’exterminer. Pour cela il se trouva à Yassi un jeune juif : il arriva au monastère de Niametz et déclara son intention d’être baptisé, et émit le désir de voir l’ancien rabbin, soi-disant pour mieux s’affermir dans la foi. On le laissa entrer, et il devint disciple de l’ancien rabbin : car, après son baptême, il voulut devenir moine. Il vécut ainsi un assez long temps. Une fois, alors que les autres disciples étaient partis à l’Église pour les vigiles, et lui avec eux — il revint vers la cellule, prit un couteau et entra dans la cellule du staretz. Celui-ci lui dit :

« Enfant, que veux-tu faire ? Peut-être veux-tu être un second Judas ? Et pourquoi veux-tu me donner la mort, à moi qui suis innocent ? Mais pourtant, je remercie mon Seigneur Jésus-Christ, d’avoir entendu mes prières et réalisé ma demande, et bien voulu me faire participer à la couronne du martyr, que mon âme a toujours désirée. Et à toi je te dis, mon enfant bien aimé : souviens-toi, et ne te détache pas du Christ ; malgré le fait que tu recevras une punition, elle sera seulement corporelle et temporaire. Mais si tu renies et retournes au judaïsme, alors tu auras deux punitions : corporelle, et spirituelle pour l’éternité. Et maintenant, fais ce pour quoi tu es venu. »

 

59 — Meurtre du rabbin, et colère de Dieu sur le meurtrier —

Et lui tout d’abord prit peur, parce que le staretz avait deviné son intention ; mais ensuite il se jeta sur lui, lui donna un coup de couteau qui le transperça, et puis il s’enfuit. Mais la colère de Dieu l’atteignit rapidement ; car, il ne s’était pas éloigné de plus de dix verstes du monastère, près de la ville de Niametz, que ses yeux s’assombrirent, et il ne put trouver la route, et erra dans les champs jusqu’au jour. Et au monastère, après les vigiles, les moines revinrent de l’Église dans la cellule, et virent leur staretz, allongé mort, et en informèrent l’archimandrite. Ayant deviné qui était le meurtrier, ils envoyèrent à sa poursuite, et près de la ville, ils le virent, marchant à travers les champs. Il fut pris et ramené au monastère. Il reconnut tout, et raconta tout. On le remit à la justice, et il fut condamné à mort pour ce qu’il avait fait. Et le staretz fut inhumé avec les honneurs, comme ascète et silencieux, et martyr ; de ses disciples, beaucoup sont encore en vie aujourd’hui. Ceci nous fut raconté au milieu d’une nombreuse assistance de frères, dans l’hôtellerie. Et nous fûmes heureux de ce récit, parce que nous avions déjà auparavant entendu parler du rabbin, mais peu.

 

Traduit du russe par N.M.Tikhomirova

Version électronique disponible sur le site de La Voie Orthodoxe
Publié ici avec l’aimable autorisation de l’Archiprêtre Quentin de Castelbajac

 


 

 


  1. Tiré de Récit des pérégrinations et voyages à travers la Russie, la Moldavie, la Turquie et la Terre Sainte du Moine Parféni, Seconde édition de 1856, Première partie, sections 52-59, pages 87-96
  2. Saint Païssi Vélitchkovsky [1722-1794], dont l’Église fête la mémoire le 15/28 novembre, jour de sa dormition, a été en quelque sorte l’initiateur du grand renouveau monastique russe et de la lignée des saints startsi au siècle dernier. Un très beau livre en français lui a été récemment consacré : Michel Aubry [†], Saint Païssius Vélichkovsky, Éditions L’Âge d’Homme, Lausanne, 1992.

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