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Épître de saint Grégoire le Grand au patriarche Jean de Constantinople

13 janvier 2023

Au commencement de son épiscopat, Grégoire adressa une lettre de communion aux patriarches Jean de Constantinople, Euloge d’Alexandrie, Grégoire d’ Antioche, Jean de Jérusalem, à Anastase, ancien patriarche d’Antioche, son ami. S’il se fût considéré comme le chef et le souverain de l’Église, s’il eût cru qu’il l’était de droit divin, il se fût certainement adressé aux patriarches comme à des subordonnés ; on trouverait, dans cette circulaire, quelques traces de sa supériorité. Il en est tout autrement. Il s’y étend longuement sur les devoirs de l’épiscopat, et il ne songe même pas à parler des droits que lui eût conférés sa dignité. Il y insiste particulièrement sur le devoir, pour l’évêque, de ne point se laisser préoccuper par le soin des choses extérieures, et il finit sa circulaire en faisant sa profession de foi, afin de prouver qu’il était en communion avec les autres patriarches, et, par eux, avec toute l’Église. Ce silence de saint Grégoire sur les prétendus droits de la papauté est déjà très significatif par lui-même, et les ultramontains auraient de la peine à l’expliquer. Que pourraient-ils donc opposer aux lettres que nous allons traduire, et dans lesquelles saint Grégoire condamne, de la manière la plus expresse, l’idée fondamentale que les ultramontains voudraient nous donner de la papauté, c’est-à-dire le caractère universel de son autorité ?
 

Bamberger Apokalypse

Bamberger Apokalypse – Staatsbibliothek Bamberg Msc.Bibl.140 / Reichenau, circa 1010

 

L’occasion de ces lettres fut l’ambition du patriarche Jean de Constantinople, qui prétendit que sa ville épiscopale étant devenue la capitale de l’empire, il devait être reconnu universellement comme le premier évêque de l’Église. À cette fin, il inventa le titre de patriarche œcuménique ou universel, et se l’attribua. La première idée d’un pouvoir central et universel dans l’Église est donc venue de Constantinople ; ce fut de Rome que s’éleva la première opposition contre cette prétention ambitieuse, et de la part d’un des plus grands papes qui se soient assis sur la chaire apostolique de Rome.

Saint Grégoire ayant appris que Jean de Constantinople s’attribuait le titre de patriarche œcuménique ou universel, écrivit plusieurs lettres qui méritent d’être lues et méditées, surtout de nos jours, où l’on cherche à nous imposer, comme étant de droit divin, un despotisme papal aussi opposé à la parole de Dieu qu’à la discipline générale de l’Église. Voici celle que Grégoire écrivit à Jean lui-même. Nous la traduisons textuellement :

 


 
« Grégoire à Jean, évêque de Constantinople1.

» Votre Fraternité se souvient de la paix et de la concorde dont jouissait l’Église lorsqu’elle fut élevée à la dignité sacerdotale. Je ne comprends donc pas comment elle a osé suivre l’inspiration de l’orgueil, et essayé de prendre un titre qui peut occasionner du scandale dans l’esprit de tous les frères. J’en suis d’autant plus étonné, que je me souviens que vous aviez pris la fuite pour éviter l’épiscopat. Pourtant, vous voulez l’exercer aujourd’hui comme si vous aviez couru au-devant, sous l’empire de désirs ambitieux. Vous qui disiez bien haut que vous étiez indigne de l’épiscopat, vous y avez à peine été élevé que, méprisant vos frères, vous avez ambitionné d’avoir seul le titre d’évêque. Pélage, mon prédécesseur de sainte mémoire, avait adressé à Votre Sainteté des observations fort graves à ce sujet. Il a rejeté, à cause du titre orgueilleux et superbe que vous y avez pris, les actes du synode que vous avez assemblé dans la cause de notre frère et coévêque Grégoire, et il défendit de communiquer avec vous, à l’archidiacre que, selon l’usage, il avait envoyé à la cour de l’empereur. Après la mort de Pélage, ayant été élevé, malgré mon indignité, au gouvernement de l’Église, j’ai eu soin d’engager Votre Fraternité, non par écrit, mais de vive voix, d’abord par mes envoyés, et ensuite par l’entremise de notre commun fils le diacre Sabinien, de renoncer à une telle présomption. J’ai défendu à ce dernier de communiquer avec vous si vous refusiez d’obtempérer à ma demande, afin d’inspirer à Votre Sainteté de la honte de son ambition, avant de procéder par les voies canoniques, si la honte ne vous guérissait pas d’un orgueil aussi profane, aussi coupable. Comme avant de faire l’amputation il faut palper doucement la plaie, je vous prie, je vous supplie, je demande avec le plus de douceur qu’il m’est possible que Votre Fraternité s’oppose à tous les flatteurs qui lui donnent un titre erroné, et qu’elle ne consente pas à s’attribuer un titre aussi sot qu’orgueilleux. En vérité, je pleure, et, du fond du cœur, j’attribue à mes péchés que mon frère n’ait pas voulu revenir à l’humilité, lui qui n’a été établi dans la dignité épiscopale que pour ramener les âmes des autres à l’humilité ; que celui qui enseigne aux autres la vérité n’ait voulu ni l’enseigner à lui-même ni consentir, malgré mes prières, à ce que je prisse ce soin.

» Réfléchissez donc, je vous en prie, que, par cette présomption téméraire, la paix de l’Église entière est troublée, et que vous êtes ennemi de la grâce qui a été donnée à tous en commun. Plus vous croîtrez en cette grâce, plus vous serez humble à vos yeux ; vous serez d’autant plus grand que vous serez éloigné d’usurper ce titre extravagant et orgueilleux. Vous serez d’autant plus riche que vous chercherez moins à dépouiller vos frères à votre profit. Donc, très cher frère, aimez l’humilité de tout votre cœur ; c’est elle qui maintient la concorde entre les frères, et qui conserve l’unité dans la sainte Église universelle.

» Lorsque l’apôtre Paul entendait certains fidèles dire : Moi, je suis disciple de Paul, moi d’Apollo, moi de Pierre, il ne pouvait voir sans horreur déchirer ainsi le corps du Seigneur, en rattacher les membres à plusieurs têtes, et il s’écriait : Est-ce Paul qui a été crucifié pour vous ? ou bien avez-vous été baptisés au nom de Paul ? S’il ne voulait pas que les membres du corps du Seigneur fussent rattachés par parties à d’autres têtes qu’à celle du Christ, quoique ces têtes fussent des apôtres, vous, que direz-vous au Christ, qui est la tête de l’Église universelle, que lui direz-vous au dernier jugement, vous qui, par votre titre d’universel, voulez-vous soumettre tous ses membres ? Qui, dites-le-moi, je vous prie, qui imitez-vous par ce titre pervers, si ce n’est celui qui, méprisant les légions des anges qui étaient ses compagnons, s’efforça de monter au faîte pour n’être soumis à personne et être seul au-dessus des autres ; qui dit : Je monterai dans le ciel ; j’élèverai mon trône au-dessus des astres du ciel ; je placerai mon siège sur la montagne de l’alliance, dans les flancs de l’Aquilon. Je monterai au-dessus des nuées ; je serai semblable au Très-Haut ?

» Que sont vos frères, tous les évêques de l’Église universelle, si ce n’est les astres du ciel ! Leur vie et leur enseignement brillent, en effet, à travers les péchés et les erreurs des hommes, comme les astres à travers les ténèbres de la nuit. Lorsque, par un titre ambitieux, vous voulez vous élever au-dessus d’eux, et rabaisser leur titre en le comparant avec le vôtre, que dites-vous, si ce n’est ces paroles : Je monterai dans le ciel ; j’élèverai mon trône au-dessus des astres du ciel ? Tous les évêques ne sont-ils pas les nuées qui versent la pluie de l’enseignement, et qui sont sillonnées par les éclairs de leurs bonnes œuvres ? Votre Fraternité, en les méprisant, en s’efforçant de les mettre à ses pieds, que dit-elle, si ce n’est cette parole de l’antique ennemi : Je monterai au-dessus des nuées ? Pour moi, quand je vois tout cela à travers mes larmes, je crains les jugements secrets de Dieu ; mes larmes coulent avec plus d’abondance, mes gémissements débordent de mon cœur, de ce que le seigneur Jean, cet homme si saint, d’une si grande abstinence et humilité, séduit par les flatteries de ses familiers, a pu s’élever jusqu’à un tel degré d’orgueil, que, par le désir d’un titre pervers, il s’efforce d’être semblable à celui qui, en voulant être orgueilleusement semblable à Dieu, perdit la grâce de la ressemblance divine qui lui avait été accordée, et qui perdit la vraie béatitude, parce qu’il ambitionna une fausse gloire. Pierre, le premier des apôtres, et membre de l’Église sainte et universelle ; Paul, André, Jean, ne sont-ils pas les chefs de certains peuples ? et cependant tous sont membres sous un seul chef ? Pour tout dire en un mot, les saints avant la loi, les saints sous la loi, les saints sous la grâce, ne forment-ils pas tous le corps du Seigneur ? Ne sont-ils pas membres de l’Église ? et il n’en est aucun parmi eux qui ait voulu être appelé universel. Que Votre Sainteté reconnaisse donc combien elle s’enfle en elle-même lorsqu’elle revendique un titre qu’aucun n’a eu la présomption de s’attribuer.

» Votre Fraternité le sait, le vénérable concile de Chalcédoine n’a-t-il pas donné honorifiquement le titre d’universels aux évêques de ce siège apostolique dont je suis, par la volonté de Dieu, le serviteur ? Et cependant aucun n’a voulu permettre qu’on lui donnât ce titre ; aucun ne s’attribua ce titre téméraire, de peur qu’en s’attribuant un honneur particulier dans la dignité de l’épiscopat, il ne semblât la refuser à tous les Frères.

» Je sais bien que ce titre a été donné à Votre Sainteté par des familiers qui la flattent et la trompent ; c’est pourquoi je demande que Votre Fraternité veille avec soin sur eux et qu’elle ne se laisse pas tromper par leurs flatteries ; vous devez les considérer comme des ennemis d’autant plus dangereux qu’ils vous donnent de plus grandes louanges. Chassez de telles gens ; et s’ils doivent nécessairement tromper, qu’ils trompent plutôt le cœur des hommes terrestres que ceux des prêtres. Laissez les morts ensevelir leurs morts ; dites plutôt avec le prophète : Qu’ils se retirent couverts de honte ceux qui me disent : Bien ! bien ! ou encore ces paroles : L’huile du pécheur ne parfumera pas ma tête. Le Sage a bien eu raison de donner ce conseil : Sois en paix avec tout le monde ; mais choisis ton conseiller entre mille, car les mauvaises paroles corrompent les bonnes qualités. Lorsque l’antique ennemi ne peut pénétrer directement dans un cœur robuste, il cherche de petites gens, et, par leur moyen, il y monte ; de même que, par le moyen d’une échelle, on escalade une muraille. C’est ainsi qu’il trompa Adam par une femme ; c’est ainsi qu’il tua les fils du bienheureux Job, et qu’il lui laissa une faible femme, afin d’arriver par elle jusqu’à un cœur qui avait été jusqu’alors à l’abri de ses atteintes. Chassez donc les familiers qui vous flattent et vous trompent, car leurs douceurs, qu’ils voudraient vous donner comme des preuves d’attachement, ne peuvent que vous attirer la haine éternelle de Dieu.

» Autrefois, l’apôtre Jean s’écriait : Mes petits enfants, voici la dernière heure. Cette prédiction de la Vérité se réalise. La peste et l’épée sévissent contre le monde ; les nations se lèvent contre les nations ; l’univers est ébranlé, la terre s’entr’ouvre pour engloutir ses habitants. Tout ce qui a été prédit arrive. Le roi de l’orgueil est proche, et, ce qui est horrible à dire, les prêtres se disposent à lui former une armée ; car ils ne songent qu’à s’élever, ceux qui n’ont été établis que pour conduire les autres à l’humilité. Mais quoique notre langue ne s’oppose pas à l’orgueil, celui-là en tirera vengeance qui s’est élevé par toute sa vie contre ce vice ; car il est écrit : Dieu résiste aux superbes et il donne la grâce aux humbles. Cet autre oracle a été aussi prononcé : Celui qui s’enorgueillit dans son cœur est immonde aux yeux de Dieu. C’est à l’homme superbe qu’il a été dit : Pourquoi t’enorgueillir, terre et poussière ? C’est pour nous amener à la voie de l’humilité que le Christ nous l’a montrée en sa personne et nous a dit : Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur. Pourquoi le Fils unique de Dieu a-t-il pris la forme de notre faiblesse ? Pourquoi l’Invisible a-t-il voulu être non-seulement visible, mais méprisé ? pourquoi a-t-il souffert les injures, les outrages, les tourments, si ce n’est pour que l’homme apprit d’un Dieu humble à ne pas être orgueilleux ? Elle est donc très grande, la vertu d’humilité, puisque, pour nous l’enseigner, celui qui, pour sa grandeur, ne peut être comparé à quoi que ce soit, s’est fait petit jusqu’à souffrir la mort ! L’orgueil du démon ayant été l’origine de notre perte, l’humilité de Dieu a été le moyen de notre rédemption. Notre ennemi a voulu s’élever au-dessus des créatures au milieu desquelles il avait été placé. Notre Rédempteur, qui, par sa nature, est plus grand que tout, a voulu être le plus petit parmi les créatures.

» Pourquoi nous disons-nous évêques, nous qui n’avons notre dignité que grâce à l’humilité de notre Rédempteur, et qui cependant imitons l’orgueil de son ennemi ? Nous savons que notre créateur est descendu du sommet de la grandeur pour donner de la gloire au genre humain ; et nous, créatures infimes, nous nous attribuons de la gloire en humiliant des frères ! Dieu s’est abaissé jusqu’à notre poussière ; cette poussière humaine veut s’élever jusqu’au ciel, effleurer à peine la terre, et elle ne rougit pas ! L’homme, qui n’est que souillure, le fils de l’homme, qui est un vermisseau, n’a pas craint de s’élever ! Rappelons-nous, très cher frère, ce qui a été dit par le très sage Salomon : L’éclair précède le tonnerre ; ainsi le cœur de l’homme s’élèvera avant de tomber. Puis il ajoute cette autre vérité : Avant d’arriver à la gloire, il s’humiliera. Humilions-nous donc dans notre cœur si nous voulons arriver à une grandeur réelle. Que les yeux de notre cœur ne soient point obscurcis par la fumée de l’orgueil : plus la fumée s’élève, plus tôt elle est dissipée. Réfléchissons à ces paroles de notre Rédempteur : Bienheureux ceux qui sont pauvres en esprit, parce que le royaume des cieux est à eux. Il ajoute par la bouche du prophète : Sur qui reposera mon esprit, si ce n’est sur l’homme humble, pacifique, qui vénère mes paroles ? Le Seigneur, voulant rappeler à l’humilité les cœurs encore faibles de ses disciples, leur dit : Si quelqu’un veut obtenir la première place parmi vous, il sera le plus petit de tous ; ce qui nous fait connaître clairement que celui qui est véritablement élevé est celui qui s’humilie dans ses pensées. Craignons donc d’être du nombre de ceux qui cherchent les premières places dans les synagogues, les salutations sur la place publique, et qui aiment à être appelés Maîtres parmi les hommes. En effet, le Seigneur a dit à ses disciples : Ne vous faites pas appeler Maîtres ; car vous n’avez qu’un Maître, et vous êtes tous frères. Ne vous faites pas non plus appeler Pères, car vous n’avez qu’un Père.

» Que diriez-vous donc, très cher frère, au terrible jugement à venir, vous qui désirez non-seulement être appelé Père, mais Père universel du monde ? Prenez donc garde aux mauvaises suggestions ; fuyez tout conseil de scandale. Il est nécessaire, il est vrai, que les scandales arrivent ; mais pourtant, MALHEUR à celui par qui le scandale arrive ! Par suite de votre titre criminel et plein d’orgueil, l’Église est divisée, et les cœurs de tous les frères sont scandalisés. Avez-vous donc oublié cette parole de la Vérité : Celui qui aura scandalisé un de ces petits qui croient en moi, il est utile qu’on lui suspende une meule au cou, et qu’il soit plongé au fond de la mer. Il est écrit : La charité ne cherche point ce qui ne lui appartient pas, et voici que Votre Fraternité s’arroge le bien d’autrui. Il est encore écrit : Honorez-vous mutuellement ; et vous, vous cherchez à enlever l’honneur à tous, en voulant l’usurper illicitement pour vous seul. Qu’avez-vous fait, très cher frère, de cet oracle : Ayez envers tous cette paix, cette charité sans laquelle personne ne verra Dieu ; et cette autre : Bienheureux les pacifiques, parce qu’ils seront appelés enfants de Dieu !

» Vous devez réfléchir mûrement à ce qu’une racine d’amertume, croissant de nouveau dans votre cœur, ne vous arrête pas, et que, par elle, un grand nombre ne soient souillés. Si nous négligeons d’y apporter l’attention nécessaire, les jugements d’en haut veillent sur les prétentions d’un si grand orgueil ; et nous, contre qui on pèche par une entreprise aussi coupable, nous suivrons ces préceptes de la Vérité : Si ton frère a péché contre toi, va, et reprends-le en particulier. S’il t’écoute, tu auras gagné ton frère. S’il ne t’écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que tout se passe entre deux ou trois témoins. S’il ne les écoute pas, dis-le à l’Église. S’il n’écoute pas l’Église, qu’il soit à tes yeux comme un païen et un publicain.

» C’est pourquoi j’ai cherché, une fois et deux fois, par mes envoyés et par d’humbles paroles, à corriger le péché qui est commis contre toute l’Église ; aujourd’hui, j’écris moi-même. Je n’ai rien omis de ce que l’humilité me faisait un devoir de faire. Si je ne recueille de ma correction que du mépris, il ne me restera que la ressource d’en appeler à l’Église.

» Que le Dieu tout-puissant vous fasse connaître combien, en vous parlant ainsi, je vous aime d’un amour ardent ; combien en cette occasion je pleure, mais pour vous et non contre vous. Mais lorsqu’il s’agit des préceptes de l’Évangile, des institutions canoniques, de l’avantage des frères, je ne puis préférer une personne, même celle que j’aime ardemment.

» J’ai reçu de Votre Sainteté des lettres très douces et très agréables touchant la cause des prêtres Jean et Athanase ; Dieu aidant, je vous répondrai plus tard ; car, pour aujourd’hui, je suis en de si grandes tribulations, je suis tellement pressé par l’épée des barbares, qu’il ne m’est pas permis, non-seulement de traiter de beaucoup d’affaires, mais même de respirer.

» Donné aux calendes de janvier, indiction XIIIe. »

 

Abbé Guettée, La Papauté moderne condamnée par le pape saint Grégoire le Grand : extraits des ouvrages de saint Grégoire le Grand, Dentu, 1861, Paris, p. 11-18

 

 


 

 

  1. [PL 77, 738-743]

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