À ceux qui se scandalisaient des malheurs survenus, de la persécution subie par le peuple et les prêtres, de la chute de plusieurs.
Avant-propos
Georges d’Alexandrie dit, dans sa Vie de saint Chrysostome, que ce discours fut composé à Cucuse pour la consolation et l’instruction du peuple de Constantinople. […] L’auteur y traite de l’adversité qu’il faut supporter, de quelque nature qu’elle soit. Les preuves sont empruntées aux exemples des saints de l’Ancien et du Nouveau Testament.
Il s’adresse à ceux qui se scandalisaient de voir les bons vaincus et persécutés par les méchants et qui accusaient de ce désordre la divine Providence. Il flétrit en passant le mauvais prêtre que ses ennemis lui avaient donné pour successeur : Qu’aucune de ces choses ne vous scandalise, pas plus que la vue d’un homme vicieux élevé à la dignité épiscopale, de ce loup ravisseur qui s’est jeté sur le troupeau.
Ce livre ne fut écrit que peu de temps avant la mort de saint Chrysostome.
Rapport de faute d’orthographe
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