Il y a quinze ans, le jour de la Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu, mon vénérable ancien, le Père Joseph, est décédé. Il avait souvent dit à mon indignité :
« Mon fils, si Dieu te confie des âmes, assure-toi de ne leur enseigner qu’une seule chose. La prière. La prière leur apprendra tout le reste et les sanctifiera »
La prière à laquelle mon saint ancien pensait était la prière hésychaste, la prière de Jésus, qu’il avait récitée tout au long de sa vie depuis qu’il en avait pris connaissance. Il en était si profondément imprégné qu’il pouvait se passer de nourriture, mais pas de prière.1
L’archimandrite Ephraïm d’Arizona, ancien higoumène du monastère de Philothéo sur le Mont Athos
La prière hésychaste et les philosophies orientales
– Si j’ai bien compris, ceci est surtout le résultat de l’ascèse, de la sobriété et de la prière de…
Rapport de faute d’orthographe
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