Les sévices de la nuit et du prétoire
Surtout entre les deux interrogatoires, où il fut la proie et la risée d’une tourbe infâme de valets du temple, « ces chiens sanguinaires », comme dit saint Jean Chrysostome. Il faut y ajouter les coups reçus au prétoire, après la flagellation et le couronnement : soufflets, coups de poings et même coups de bâton, car le mot « rapismata » (Jn 19,3), que Saint-Jérôme traduit par « alapas », des soufflets, signifie aussi bien, et d’abord, « coups de bâton ».
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Rapport de faute d’orthographe
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